Le premier ministre Rose-Christiane Ossouka Raponda celle qu’il faut a la place qu’il faut. C’est tout d’abord avec ferveur et militantisme que le membre du bureau politique, par ailleurs chef du gouvernement, a mis les bouchées doubles à la cérémonie de rentrée politique, compte de l’estuaire.
Pragmatique et réaliste, elle incarne le véritable visage du changement à position et remarques à l’échelle mondiale. Grâce à la politique impulsée par le président de la République Son Excellence Ali Bongo Ondimba, le Gabon a été certifié crédit carbone.
Il faut dire que c’est la bonne préservation de notre environnement, par les politiques mises sous la houlette du numéro Un Gabonais.
Le Gabon, bien présent sur les questions de sécurité, est actuellement à la présidence du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU), le pays a également obtenu 3 % supplémentaires sur son économie nationale.
C’est l’émanation de la conduite de l’action présidentielle, par Rose Christiane Ossouka Raponda.
Il se trouve également que depuis quelque temps, l’analyse des faits laisse observer que l’actuel gouvernement est plus solidaire et renforcer que jamais.
Pour mieux organiser le travail de l’équipe gouvernementale, ces derniers sont unis en ordre de bataille sur les chantiers prioritaires sur l’étendue du territoire national.
La nomination d’un vice Premier ministre, en la personne d’Alain Claude Billy Bi Nze, vient à point pour mettre en pratique les orientations du Premier ministre Rose Christiane Ossouka Raponda, sur la vision stratégique du Chef d’État.
Rose-Christiane Ossouka Raponda a la confiance de son Président Ali Bongo Ondimba, raison pour laquelle, elle reste bien celle qui a le plus fait bouger les choses dans l’exercice de ses fonctions, notamment la gestion de la crise sanitaire liée à la COVID-19.
À l’approche du scrutin présidentiel de 2023, une telle détermination serait un atout majeur pour une réélection d’Ali Bongo Ondimba à la tête du pays.
Selon les termes de la Constitution en République gabonaise, en son article 29, il est clairement écrit : « Les actes du Premier ministre sont consignés par les membres du gouvernement chargés de leur exécution ». Cela dit, le Premier ministre dirige l’action du gouvernement. Il en assure l’exécution des lois.
C’est-à-dire que chaque ministre devrait être responsable des actes qu’il pose pour une synergie d’efficacité collective concernant la mise en œuvre des politiques publiques.
L. N