Rendu publique sur les réseaux sociaux depuis hier soir. L’Union Européenne dépêche habituellement des missions dans le pays en développement pour suivre de près le processus électoral.
Mais le constat est que dans leur propre espace, les élections sont organisées sans observateurs.
Particulièrement le Gabon, lors des présidentielles de 2016, la mission d’observation de l’U.E a fait preuve d’une extrême partialité. A cet effet, 1 euro député avait d’ailleurs pris fait et cause pour le candidat malheureux Jean ping qu’il souhaitait voir, au détriment du vote gabonais, accéder à la magistrature suprême.
Pourtant de plus en plus, en Afrique, l’on est belle et bien conscient de la souveraineté et on réclame de la réciprocité. Si des missions européenne sont dépêchées pour observer les élections sur le continent, l’Afrique elle aussi doit pouvoir envoyer des observateurs en occident afin de garantir la crédibilité des scrutins.
A toute fin utile, ce n’est pas propre au Gabon, mais plusieurs pays africain ont fait le choix d’organiser leur scrutin électoraux en toute souveraineté.
Ainsi, c’est donc tout a fait logique et clair, face à toutes ces récriminations et preuves flagrante de partialité, qu’il n’y ait pas de mission d’observation en Août prochain au Gabon.
